At age twenty, Molly Shakespeare knows a lot.
She knows Descartes and Kant.
She knows academia and Oxford.
She knows that the people who love you leave you.
She knows how to be alone.
But when Molly leaves England's grey skies behind to start a new life at the University of Alabama, she finds that she has a lot to learn — she didn't know a summer could be so hot, she didn't know students could be so intimidating, and she certainly didn't know just how much the folks of Alabama love their football.
When a chance encounter with notorious star quarterback, Romeo Prince, leaves her unable to think of anything but his chocolate-brown eyes, dirty-blond hair and perfect physique, Molly soon realises that her quiet, solitary life is about to dramatically change forever...
Mon avis : j'aurais vraiment voulu aimé ce livre, j'adore sa couverture ! Mais malheureusement ça n'a pas été le cas. Comme pour toutes les romances new adult que j'ai lues jusqu’à présent j'ai lu très vite ce livre, et même si au départ j'ai accroché, j'ai vite déchanté.
Je n'ai pas apprécié les personnages et encore moins leur relation dominant/dominé. Cette relation ne se cantonne pas à leur vie sexuelle, Rome veut tout contrôler. Il demande à Molly de lui promettre ceci ou cela, et si elle ne répond pas dans la seconde, il lui FAIT promettre. Et Molly aime cela, y trouve de l'excitation et même du réconfort. Cela m'a profondément exaspérée et parfois même choqué tant je trouvais cela malsain.
Je n'ai pas vraiment aimé non plus le caractère de Molly, qui certes a eu une vie plutôt difficile (Rome n'est pas en reste d'ailleurs, cependant cela n'excuse pas tout !), mais qui se montre trop lâche à des moments où l'on aura attendu mieux de sa part. Je n'ai pas aimé non plus qu'elle se laisse dominer de la sorte par Rome. Compte tenu de son caractère, je l'aurais plutôt vu se rebeller un peu, ne pas tout accepter ainsi.
Et puis des détails m'ont chiffonnée, comme la première fois de Molly et Rome, où Molly demande à Rome de ne pas porter de préservatif car bon, ca va, elle est sous pilule ! Si l'on prétend parler protection, au moins qu'on en parle bien au lieu de sortir des énormités pareilles !
Bref, un rendez-vous complètement manqué pour moi, je ne lirais pas Sweet Rome même histoire du point de vue de Rome.
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