Anton, adolescent à la chevelure rousse, est victime de harcèlement de la part de ses camarades. Son existence est devenue un enfer. Mais cet enfer n’est rien à côté de celui qui va lui tomber dessus dans la nuit du 31 avril au 1er mai…
Mon avis : Plus on avance dans cette série, plus forcément on s'attache aux personnages. J'ai été très contente de retrouver Karine Raczynski. Même si elle est plus "ronchon" dans ce tome, peut-être même un peu de mauvaise foi parfois, mais cela la rend tellement humaine et accessible.
Ce que j'ai aimé avec ce tome, c'est qu'on est mené par le bout du nez. L'enquête sous ses aspects cousu de fils blancs est en fait tortueuse, avec des protagonistes tordus. Le thème abordé est grave, il révolte, et pourtant, l'acharnement d'adolescents envers un souffre douleur est une réalité, triste en est la preuve aux informations télévisées.
Je dois lui reprocher une fin un peu précipitée, mais tout le reste est vraiment bien menée. C'est une saga que je vous conseille fortement. J'espère en apprendre plus sur le passé de la commissaire dans l'avenir, même si j'ignore combien de tomes sont prévus.
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