Le père d'Hugo Cabret est mort dans l'incendie du musée où il travaillait en tant qu'horloger. Hugo a pour compagnon un automate et un oncle alcoolique qui l'héberge. Le jour où il disparaît, Hugo se cache et continue son travail de réglage d'horloges. Il répare l'automate de son père, persuadé qu'il va lui délivrer un important message.
Mon avis : tout d'abord je tiens à souligner la beauté de l'objet livre. C'est un livre épais, solide car relié, foisonnant d'illustrations de l'auteur. Des illustrations intégrées au récit, auquel elles se substituent même. Magnifique !
C'est aussi le cas de l'histoire, qui même si simple, est tout à fait touchante. On se prend de passion pour Cet automate, par lequel Hugo et son père avant lui étaient obsédés. Avec lui, on voyage dans le passé du cinéma, le passé de Paris. On y est, on y croit. On ne sait plus ce qui est vrai, ce qui est faux. Bref, c'est comme si la magie du cinéma déteignait sur ces pages.
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